
Les nouvelles règles TVA qui changent la donne
La directive de janvier modifie pas mal de choses pour les entreprises entre 50 et 250 salariés. On vous explique ce qui bouge concrètement.
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Lire l'articleUn industriel franc-comtois a divisé par deux ses impayés en huit mois. Voici comment il s'y est pris, sans brutaliser ses partenaires.
Découvrir le casLes entreprises qui ont tenu le cap l'an dernier ont toutes un point commun dans leur gestion. Spoiler : c'est moins glamour qu'on pourrait croire.
Voir l'analyseParce qu'il se passe toujours quelque chose qui peut affecter votre trésorerie. Petit récap des changements qui comptent vraiment.
Les acomptes d'IS évoluent pour les sociétés réalisant plus de 500 000 € de bénéfice. Le crédit d'impôt formation est reconduit mais avec des plafonds ajustés. Et les délais de déclaration BNC raccourcissent.
La vérification IBAN devient obligatoire pour tous les virements de plus de 3 000 €. Ça ralentit un peu le process, mais ça évite pas mal d'erreurs coûteuses.
Les procédures collectives augmentent de 18 % sur le trimestre. Pas la panique, mais un bon moment pour revoir ses marges de sécurité.
Les grandes entreprises basculent en juillet 2025. Les ETI suivront en janvier 2026. Si vous êtes fournisseur, c'est maintenant qu'il faut vous équiper.
On passe des heures à construire des tableaux de trésorerie prévisionnelle qui finissent dans un tiroir. Le problème, c'est rarement l'outil. C'est qu'on oublie de se poser les bonnes questions avant.
Une boîte de négoce double son chiffre en deux ans. Sauf que personne n'a anticipé que le besoin en fonds de roulement allait suivre. Récit d'un rattrapage qui aurait pu mal tourner.
Quelques réponses rapides aux questions qui reviennent le plus en accompagnement. Pas exhaustif, mais ça peut dépanner.
Si vos clients payent au-delà de 60 jours et que vous avez besoin de cash maintenant, l'affacturage peut vous débloquer 80 à 90 % de vos factures en 48 heures. Par contre, ça coûte entre 0,5 et 3 % du montant. À peser selon votre marge réelle.
Avant de courir voir votre banquier, regardez vos stocks dormants et vos créances à plus de 90 jours. Souvent, il y a entre 20 et 40 k€ qui traînent là sans raison. Commencez par ça.
Si vous travaillez avec trois gros clients qui représentent 70 % de votre CA, c'est une nécessité. Si vous avez 200 petits clients diversifiés, c'est discutable. Tout dépend de votre structure de risque.